Faque ? Qu’est-ce qui fait que des Français qui s’établissent chez nous laissent tomber leur « du coup » caractéristique pour adopter le « faque », si cher aux Québécois ? Tsé, que certains absorbent l’accent d’ici, et d’autres pas ? C’est ce que tentent de comprendre deux chercheuses de l’Université de Montréal.